(F) JENNA LOUISE COLEMAN - Jumelle royale et princesse capricieuse

- Née à madrid en 1899 juste avant sa jumelle
- Sa mère décède en couche
- Elle reçoit avec sa sœur une éducation très complète en tant que princesse d’espagne
- Elle a quinze ans quand la première guerre mondiale débute pendant laquelle l’Espagne reste neutre, le roi ayant des parents des deux côtés
- Elle se marie pendant la guerre, en 1915, son mariage fut heureux et s’il prit un terme c’est parce que, quatre ans plus tard, il décèdera de la grippe espagnole
- Avec Sara elles assassinent via du poison le mari de celle-ci, pour la venger de ses violences et infidélités.
- Elle passe la majeure partie des années suivant la guerre enfermée, pleurant son époux et ayant beaucoup de mal à se relever de cette perte. Elle met presque cinq ans à se relever et à accepter son veuvage.
- Elle tombe sous la coupe du prince Wilhem von Falkenhayn, attaché de l’empire allemand et amiral de la flotte méditerranéenne qui prend en main une part plus intime de son éducation, comme celle de sa sœur. Pensant protéger sa sœur, elle se livre à Wilhelm insistant pour qu’il se « lâche », lui causant de grandes douleurs et de grandes humiliations qui lui plairont bien plus qu’elle ne voudrait l’admettre.
- Un courtisan finit par commencer à remonter la piste de l’assassinat du mari de Sara… celle-ci supplie alors, faute de pouvoir demander à son père, à Wilhelm von Falkenhayn, de les protéger toutes les deux. Il réussit à convaincre le roi Alphonse de les confier à sa « garde » en tant que pupille afin qu’il leur trouve un mariage convenable du côté des vainqueurs.
- Elle passera ses journées dans la cabine de Wilhelm au poiint d’entendre être appelée la putain du capitaine par l’équipage. Souvenir qui la rend honteuse aujourd’hui alors qu’elle aimait cette petite liberté à l’époque.
- Elle passe avec sa sœur plusieurs années sur les terres de Wilhelm von Falkenhayn avec de fréquentes visites à Berlin. Mais elle détestera toujours cet endroit qu’elle trouve campagnard et préfère largement ses visites à Berlin qui deviennent de plus en plus fréquentes. Elle y rencontre la princesse Liesel qui attire immédiatement son admiration, une admiration qui confinerait presque à un mélange de dévotion et d’envie. Devenant très proche d’elle, elle tente de calquer un peu son attitude sur la petite princesse capricieuse bien qu’elle n’y arrive jamais vraiment. Un exemple flagrant est qu’eayant accompagné Liesel pour son piercing, elle décide de faire pareil « en mieux » mais sans en éprouver la satisfaction attendue…
- Elle est arrivée avec sa sœur peu de temps avant la princesse Lieselotte dont elle cherche à nouveau à retrouver les faveurs.  Et si elle finit par faire partie de ses dames de compagnie, elle ne cesse de la mettre sur un piédestal et de l’envier. Elle se fiche de subir quelques brimades pour ça…
Voyant sa sœur s’ouvrir, elle décide de la laisser un peu dans sa merde et la laisser un peu se débrouiller dans cette nouvelle vie, non sans s’inquiéter pour elle, à cause du chef de la sécurité, Giovanni di Savoia, qui lui rappelle étrangement quelqu’un…

@Catalina de Bourbon - Soeur jumelle; les deux soeurs se complètent à la perfection, il faut bien le reconnaitre, elle est aussi flkamboyante et capricieuse quue sa sœur est douce et docile.
Depuis leur arrivée à Neueschloss, elle cherche à s’affranchir de ce besoin de protéger sa sœur comme elle l’a fait toutes ces années. Elle veut s’en affranchir mais a beaucoup de mal à ça. Elle veut sa propre voie.
Elle a des soupçons sur Giovanni, elle ne le « sent pas » mais sans plus, alors elle n’aime pas laisser sa sœur le fréquenter.

@Wilhelm von Falkenhayn - Tuteur, maitre, et amant; « Quoi que vous faite à ma sœur, faites-moi pire pour l’alléger ! » voilà ce avec quoi ça a commencé. Et ça n’a jamais cessé, en fait… elle ne sait pas si elle veut que ça s’arrête. Parce que si elle en vient à le détester, il y a deux choses qui la retiennent : malgré tout, elle apprécie que quelqu’un la traite de cette manière, ou du moins, elle jouis sans pudeur, et ensuite, parce que c’est l’homme de Liersel, et qu’elle rêve secrètement d’avoir plus d’importance qu’elle à ses yeux… pour se sentir meilleure qu’elle, juste une fois au moins… et puis, graviter autour de Wilhelm lui permt d’éviter de se faire « éjecter » de celle de Liesel…

@Liesel von Hohenzollern - Objet d’admiration comme d’envie; Liesel est la princesse parfaite aux yeux de Catalina. Egoiste, superficielle… et libre ! Oh oui, elle aime beaucoup voir cette petite princesse obtenir plus d’un sourire qu’elle n’en aurait en donnant bien plus… elle aime beaucoup cette princesse. Amoureuse ? Non, mais admirative et clairement attirée par elle. et elle l’envie tellement… elle voudrait avoir et être tout ce qu’elle a et tout ce qu’elle est ! Y compris avoir son homme. Elle veut l’égaler et la déteste un peu de ne pas y arriver, mais refuse de se priver de son attention. Du coup, parfois, elle accepte de jouer les petites poupées dociles de Liesel, quitte à en souffrir un peu…

@Giovanni di Savoia - Danger ? ; Elle est persuadée de le connaitre, de l’avoir déjà vu quelque part. cette impression la dérange ^profondément parce qu’elle sent qu’elle devrait se méfier. Et elle craint un peu pour sa sœur qu’elle sent quelque peu enamourachée de cette situation…
Non mais franchement !

@"Solomon kaDinzulu" - Servant et jouet ; C’est sa première décision une fois arrivée ou Neueschloss, ou presque : un nègre bien équipé pour se détendre. Et elle estime avoir bien trouvé : il est assez docile pour être agréable et assez indocile pour rester intéressant. Et puis, cette impression de force qu’il dégage lui plait : elle aime l’idée de mater un homme fort qui pourrait lui faire du mal… et elle adore cette sensation qu’il n’en arrivera jamais à user de sa force contre elle. Il a trop à perdre !

Catalina est toute en paradoxes. Princesse gâtée, elle a toujours fait passé sa sœur avant elle, d’une part, et femme se voulant indépendante, elle a aimé devenir dépendante tour à tour, d’un homme, Wilhelm, et d’une femme, Liesel, voir, avoir une dépendance envers les deux en même temps, d’une certaine manière.
Dominatrice, voire même à la limite d’être castratrice avec les hommes, elle se retrouve pourtant dans la position d’être soumise, p^resque sujette à une forme de masochisme…
Envieuse et jalouse, elle n’a jamais aimé que les autres aient mieux qu’elle… pourtant, ça passe avec Liesel, elle est trop admirative de cette dernière pour réussir à lui en vouloir longtemps.