L'Allemagne a la toute puissance de ce monde, c'est un fait, les autres pays deviennent
un nouvel onglet, l'agrandira.
Quoi qu'il en soit, on remarquera que plus un quartier est proche du château Das Schloss, plus il se trouve être un quartier d'élite. Ainsi Altstadt est le quartier le plus riche, tandis qu'Innerstadt est le plus pauvre.
Le look à la garçonne est popularisée par Coco Chanel, mais dans les soirées, les robes sont bien plus tendances. On appelle
Côté capillaire, les coiffures des femmes pendant les années 20 sont marquées par 4 tendances : les coupes courtes, les crans, les chapeaux cloche et les headbands bijoux.
Côté lingerie, le corset voit sa popularité chuter pour évoluer vers la gaine, la taille est ainsi presque plus marquée, les hanches et les cuisses sont écrasées pour satisfaire une silhouette tubulaire. La silhouette rappelle celle de l'Empire, taille haute, poitrine effacée et hanches étroites. La mode est aux petites poitrines, c'est l'essor du soutien gorge et le corset n'a plus sa place.
Côté couleur, un costume blanc ou beige est idéal pour l’après-midi ou une garden-party, tandis qu’un smoking ou un costume plus foncé (noir, gris, bleu foncé) sera plus adapté pour la soirée.
Un homme ne sort jamais sans son chapeau, le plus incontournable est le feodora, le canotier ou le panama.
Coté capillaire les hommes portent la petite moustache fine ou se rasent de près, les cheveux sont plaqués sur l'arrière ou le côté, avec une raie eu milieu ou sur le coté.
Coté lingerie, l'on délaisse le caleçon long pour le slip ou le caleçon très court bien plus pratique notamment pour le sport. Petit bateau propose la culotte sans jambe donc (slip) et la marque Jil le premier slip kangourou même s'il ne porte pas ce nom, avec ouverture sur le côté.
Quoi qu'il en soit, bien entendu, le style varie selon la classe sociale et la nationalité.
Une chose est à noter, les enfants ne viennent pas à Neueschloss, si la possibilité d'en avoir au sein de la ville existe, ils n'y sont pas emmenés. Si les membres de la ville fondent une famille, les enfants vers l'âge de six ans sont envoyés dans un pensionnat en dehors de la ville et ne rentrent que le week-end et aux vacances. (Le pensionnat est gratuit pour les fonctionnaires, les servants quant à eux n'ont pas à avoir d'enfant (stérilet), le pupille aura l'obligation (par le comité) de faire avorter le servant , à ses frais (aucun servant ne peut avoir d'enfant) et les fonctionnaires sont invités à envoyer leurs enfants aux pensionnats, sinon, à les envoyer dans leur famille quand ils le souhaitent).
Bien entendu, le pensionnat encouragera la glorification de l'Allemagne et de l'Empereur, ce qui pousse le plus souvent les pupilles à renvoyer leur progéniture dans leur famille.
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La télévision n'est pas encore là. On communique par courrier postale, télégramme ou téléphone.
Quelques technologies ici
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En dehors les véhicules personnels divers, l'on retrouve dans la ville un réseau de bus jaunes et de tramways, tout comme des compagnies de taxi.
C'est Neueschloss le nid culturel et artistique de ce nouveau monde. Innerstadt abrite de célèbres cafés d'artistes comme des salons réputés. Que ce soit écrivains, peintres ou même musiciens.
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Loin d'être fermée, la ville se laisse influencer par des mouvements musicaux venus d'ailleurs comme le jazz des USA et l'on peut aller découvrir la célèbre Revue Nègre se déroulant dans la ville, au cabaret Kit Kat Club. On y entend le charleston, nouvelle musique endiablée, qui ravit les danseurs. Là où ailleurs ce genre de musique peut faire scandale, au sein de Neueschloss cette mélodie fait fureur.
Le tango aussi, on aime les ballets mais surtout le music hall et les comédies musicales. Un nouveau départ pour l'Opérette et ses créations fantaisistes qui sont au goût de tous.
Le sport est un divertissement qui prend aussi son essor, le football et le rugby font leur place et si avant la guerre, tout cela était réservé aux élites, ici tout est accessible.
En 1920 c’est la
Pourtant l’on trouve à Neueschloss
Si aux USA la prohibition (de l’alcool) fait rage, l’alcool circule librement dans la ville.
Les bordels, remplies de fonctionnaire: désignés à la tâche du plaisir, ils sont monnaies courantes dans la ville, les femmes tapinent et rabattent le client dans les quartiers les moins glorieux, les bâtisses distinguées, elles, attendent le client.
D’autres lieux de débauches entre habitants existent, connu par le bouche à oreille, ou bien simplement assez réputés pour être de haut lieux de soirées décadentes. Pour certain, il faut avoir le privilège de l’invitation, comme pour pénétrer au Cercle, un lieu hautement sélectif où le port du masque est obligatoire…
Vit au château, la famille impériale par obligation. Les alliés eux , ont libre choix d'y avoir des appartements, -ils peuvent loger en ville s'ils le souhaitent, mais ne serait-ce pas un affront à l'Empereur - comme certains invités bien particuliers. Le reste des pupilles et des invités sont libres de louer des logements en ville.
Les Servant(e)s sans maître(sse)s vivent aux alentours de la ville, dans un centre de dressage spécifique avec dortoirs de 6/8 lits non mixte pour éviter la promiscuité.Ils peuvent être amené à Neueschloss via un train qui leur permet d'aller jusqu'en ville si besoin est, passant le matin et le soir uniquement. Mieux vaut ne pas manquer l'appel à votre retour.
Et oui, il existe déjà le stérilet à l’époque et est utilisé sur les Servantes. Bien entendu, si les gynécologues de la ville peuvent en poser à des dames de la haute, il est clair que la chose est franchement mal vu, même si sous secret médical, l’on ne peut tout à fait se faire poser la chose aisément. Les docteurs ne le font réellement qu’en cas de gros soucis médical, et la chose est extrêmement rare, parce que oui, à l’époque, la femme n’a pas tout à fait l’aisance de son propre corps.
Toutefois il existe déjà le préservatif. Il existe déjà un préservatif féminin, appelé « le Pratique » et un préservatif masculin.
L’après guerre a poussé les pays les plus touchés à user d’une politique nataliste en demandant une utilisation réduite de la chose, voir, espérant l’interdire, mais à Neueschloss, c’est quelque chose de commun, fort pratique et distribué presque gratuitement. Après tout, l’on ne veut point d’enfant dans cette ville et le Comité apprécie le petit réceptacle d’amour, pour l’appeler joliment. Cette année, le préservatif à latex liquide –le même composant IRL de nos jours- vient de voir le jour, une jeune entreprise allemande en fabrique, de toutes sortes dès lors, finis le préservatif d’auparavant que l’on achetait pour 5 ans de bon et loyaux service, lavés, nettoyés et talqué après chaque utilisation. .
Il existe dès lors des préservatifs parfumés, aux formes et aux textures diverses, avec réservoir.
Source d’inspiration pour plus d’information ici
En 1920 le piercing est le signe des marginaux, toutefois, à Neueschloss, les dames, certaines, retrouvent une vieille mode du XIVème siècle, celui du piercing aux tétons en des fins décoratives. On ne l’expose pas comme pouvait le faire Isabeau de Bavière, mais en discrétion de couche, on se pare d’ornements dit « exotique ». Toutefois en dehors de la ville, il reste le signe de ceux dit « marginaux ».
Le tatouage quant à lui, exécuté grâce à une machine électrique n’est pas un art forcément apprécié et essentiellement mal vu. Le tatoué reste un marginal/brigand, un exotique –un homme venant de colonie et suivant des traditions non occidental-, et les Servants. Si une personne n’entrant pas dans ses catégories est tatoué, il est probable qu’elle ait voyagé ou fait le choix de cela, gardant le plus souvent, la discrétion de cet ornement.